Notre organisme subit des variations hormonales importante pour s’adapter aux changements de saisons ce qui peut entrainer une accélération du rythme pilaire.
Pour la chute d’automne, ce peut être notre mode de vie en été (consommation plus importante de tomates, sodas, etc..).
L’effluvium physiologique saisonnier est généralement anodin s’il ne dure pas plus de 4 à 6 semaines. Au delà, la chute s’installe de facon chronique.
Prévenir permet d’éviter une baisse de densité à chaque mi saison.